Après 20 tentatives, Nicolas s’impose finalement à Bordeaux dans la brise légère !
Quelle ténacité ! A sa 21ième tentatives, le nordiste Nicolas WILLFERT s’impose à Bordeaux en damant le pion aux deux des plus grands spécialistes des petits airs que sont Rémi BRES et Patricio MONTERO.
17 concurrents se sont retrouvés à Bordeaux, il manquait cette année quelques figures du circuit, comme Marc ALAZIA, Johan POULAIN, Thierry BAYARD qui a préféré rester au « frais » à St Nazaire et Alain CHARRIER et son compère Yves GIROD, ce dernier ayant vendu son matoss et se consacre maintenant aux régates de RG de Vannes.
Il a fait très chaud ce week-end à Bordeaux, comme sur le reste de l’Europe au demeurant. Cela a rendu les ébats sur l’eau éprouvants, d’autant que l’organisation a enchaîné les courses à un rythme soutenu. 13 manches samedi et 5 manches dimanche matin.
Les manches ont été très disputées, pas moins de 8 coureurs ont remporté au moins une course… Les nerfs ont été mis à rude épreuve !
Et en complément, le message sympa de Nicolas : « Merci à Nicolas SELVES et bernard MOTHE qui se sont donnés corps et âme pour nous refaire une épreuve magnifique encore cette année.
cela fait 20 ans ou presque que j’y participe et je n’avais jamais gagné. le plan d’eau est pas ultra simple à lire et les skippers sont le gratin français et parfois mondial. C’était chouette. je ne m’attendais pas à gagner face aux rois du petit temps Rémi et Patricio.
Conditions de vent très light avec des couloirs de vent avec qui il fallait être très attentif.
40 degrés ressenti au soleil voir plus. Epreuve très chaude cette année. dure pour les organismes.
A très vite
nico »
Les échos du parking :
Il a fait si chaud que l’organisation permettait au coucurrents de se rafraîchir toutes les deux manches en fournissant l’eau (et la bière, et le café, etc…) – Quel accueil !
Nicolas naviguait avec son Diamond tout comme Patricio.
Christophe a connu des ennuis avec sa platine de treuil refaite en sandwhich – mais celle-ci n’a pas résisté aux efforts et à la chaleur.
Michel a perdu sa tringlerie de safran, tout comme Thomas – et quand ça saute, au niveau du safran c’est particulièrement difficile d’accès !
Rémi naviguait en Gran Niou tout comme Thomas et Michel, mais lui, il s’est fait un gréemet A léger à la limite de la jauge, et de ce fait il avait plus de pèche !
